INterview de ANGUS YOUNG

dans "le parisien "d'aujourd'hui ? A LIRE

Si tu as un petit scan, n'hésite pas à nous en faire profiter.

Phsymol a écrit:

Si tu as un petit scan, n'hésite pas à nous en faire profiter.

bonne idée !!! mais en texte qui défile...C'est fatiguant....

Tu veux dire, qui défile de droite à gauche ou de bas en haut

Phsymol a écrit:

Tu veux dire, qui défile de droite à gauche ou de bas en haut

les deux

Phsymol a écrit:

Si tu as un petit scan, n'hésite pas à nous en faire profiter.

mais je peux recopier l'interview si vous le voulez

Si l'interview en vaut la peine, n'hésite pas.

j ai les deux éditions celle du 21 et du 19 et y'a rien concernant acdc bizarre ton affaire!!!!

et hop !

MUSIQUE.
Le grand retour d’AC/DC
Le groupe de hard rock australien revient au premier plan avec un nouvel album, « Black Ice », qui sort aujourd’hui et devrait ravir ses fans. En exclusivité, le guitariste Angus Young s’explique sur la longévité de sa formation qui va repartir en tournée.
Propos recueillis par Sébastien Catroux | 20.10.2008, 07h00



DEPUIS l’album « Stiff Upper Lip » sorti il y a huit ans et la tournée du même nom, les Australiens d’AC/DC avaient débranché. Aujourd’hui même, ils sont de retour avec « Black Ice », un CD où l’on retrouve intact ce qui fait le charme de cette formation depuis près de trente-cinq ans. A savoir un hard rock d’excellente facture à la fois hurlé par le chanteur Brian Johnson (61 ans) et ornementé par la guitare tranchante d’Angus Young, 53 ans.
Soit un authentique guitar-hero rencontré à l’occasion de ce retour en force.

Quel est le secret de la longévité d’AC/DC ?

Angus Young. C’est très simple : Nous avons une approche très minimaliste des chansons et ne pensons surtout pas aux modes du moment. Un exemple : le rock est soi-disant de retour ? Ce n’est pas la première fois mais ça occupe les médias. Là, ça nous arrange dans la mesure où le public qui écoute de jeunes groupes de rock va finir par nous découvrir. Ça me fait bien marrer, d’ailleurs, ce « retour du rock ». Lorsque nous avons commencé, on l’annonçait déjà comme mort. Depuis, il y a eu le punk, le disco, le hip-hop, la new wave, la techno… et nous sommes toujours là.

« Notre public est comme nous : il aime le rock’n’roll. »

Votre public n’est-il pas un poil nostalgique ?

J’ai plutôt le sentiment qu’il s’intéresse à nos derniers morceaux et qu’il nous suit depuis longtemps. Et puis il y a toujours des nouveaux venus qui rejoignent régulièrement le club. En fait, notre public est comme nous : il aime le rock’n’roll. Les albums de rock, surtout. C’est pour ça que nous refusons que notre musique soit téléchargeable sur Internet. Nous, nous proposons des albums en entier, pas seulement une ou deux chansons à piocher parmi des millions d’autres.

Que faites-vous de vos journées lorsque vous n’êtes pas le guitariste d’AC/DC ?

Ma vie est très calme lorsque AC/DC n’est pas en activité. Je m’occupe : je joue de la guitare et j’écris des chansons. Je ne supporte pas de ne rien faire. Je peins, aussi, mais pas pour présenter mes tableaux au public, juste pour moi. Je dessine des fleurs, des arbres, des plantes… Ça maintient mon esprit éveillé.

Vous allez bientôt repartir en tournée mondiale et rendosser votre tenue d’écolier ?

Oui, je vais remettre ma tenue d’écolier lors de cette tournée. Je suis connu pour ça, je n’ai pas le choix. Et je n’ai pas le droit de décevoir tous ceux qui s’attendent à me voir comme ça.

Que symbolise ce look ?

La rébellion. C’est à cause de ma soeur, en fait. Un jour, je jouais de la guitare en rentrant de l’école et elle m’a dit que ce serait une très bonne tenue de scène. Que personne d’autre, dans un groupe de rock’n’roll, ne s’habillait comme ça. Ça m’a beaucoup aidé au début : nerveux avant les concerts, ça me permettait de me glisser dans la peau d’un autre personnage. Une très bonne idée que je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps.

AC/DC, « Black Ice » (disques Columbia). Prix : 14,99 €. Sortie aujourd’hui. En concert les 25 et 27 février au Palais omnisports de Paris-Bercy. Complet. L’intégralité de la discographie d’AC/DC est rééditée.

Le guitar hero diablotin d’AC/DC, Angus Young, va remettre sa tenue d’écolier pour une nouvelle tournée mondiale.

Franz a écrit:

et hop !

MUSIQUE.
Le grand retour d’AC/DC
Le groupe de hard rock australien revient au premier plan avec un nouvel album, « Black Ice », qui sort aujourd’hui et devrait ravir ses fans. En exclusivité, le guitariste Angus Young s’explique sur la longévité de sa formation qui va repartir en tournée.
Propos recueillis par Sébastien Catroux | 20.10.2008, 07h00



DEPUIS l’album « Stiff Upper Lip » sorti il y a huit ans et la tournée du même nom, les Australiens d’AC/DC avaient débranché. Aujourd’hui même, ils sont de retour avec « Black Ice », un CD où l’on retrouve intact ce qui fait le charme de cette formation depuis près de trente-cinq ans. A savoir un hard rock d’excellente facture à la fois hurlé par le chanteur Brian Johnson (61 ans) et ornementé par la guitare tranchante d’Angus Young, 53 ans.
Soit un authentique guitar-hero rencontré à l’occasion de ce retour en force.

Quel est le secret de la longévité d’AC/DC ?

Angus Young. C’est très simple : Nous avons une approche très minimaliste des chansons et ne pensons surtout pas aux modes du moment. Un exemple : le rock est soi-disant de retour ? Ce n’est pas la première fois mais ça occupe les médias. Là, ça nous arrange dans la mesure où le public qui écoute de jeunes groupes de rock va finir par nous découvrir. Ça me fait bien marrer, d’ailleurs, ce « retour du rock ». Lorsque nous avons commencé, on l’annonçait déjà comme mort. Depuis, il y a eu le punk, le disco, le hip-hop, la new wave, la techno… et nous sommes toujours là.

« Notre public est comme nous : il aime le rock’n’roll. »

Votre public n’est-il pas un poil nostalgique ?

J’ai plutôt le sentiment qu’il s’intéresse à nos derniers morceaux et qu’il nous suit depuis longtemps. Et puis il y a toujours des nouveaux venus qui rejoignent régulièrement le club. En fait, notre public est comme nous : il aime le rock’n’roll. Les albums de rock, surtout. C’est pour ça que nous refusons que notre musique soit téléchargeable sur Internet. Nous, nous proposons des albums en entier, pas seulement une ou deux chansons à piocher parmi des millions d’autres.

Que faites-vous de vos journées lorsque vous n’êtes pas le guitariste d’AC/DC ?

Ma vie est très calme lorsque AC/DC n’est pas en activité. Je m’occupe : je joue de la guitare et j’écris des chansons. Je ne supporte pas de ne rien faire. Je peins, aussi, mais pas pour présenter mes tableaux au public, juste pour moi. Je dessine des fleurs, des arbres, des plantes… Ça maintient mon esprit éveillé.

Vous allez bientôt repartir en tournée mondiale et rendosser votre tenue d’écolier ?

Oui, je vais remettre ma tenue d’écolier lors de cette tournée. Je suis connu pour ça, je n’ai pas le choix. Et je n’ai pas le droit de décevoir tous ceux qui s’attendent à me voir comme ça.

Que symbolise ce look ?

La rébellion. C’est à cause de ma soeur, en fait. Un jour, je jouais de la guitare en rentrant de l’école et elle m’a dit que ce serait une très bonne tenue de scène. Que personne d’autre, dans un groupe de rock’n’roll, ne s’habillait comme ça. Ça m’a beaucoup aidé au début : nerveux avant les concerts, ça me permettait de me glisser dans la peau d’un autre personnage. Une très bonne idée que je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps.

AC/DC, « Black Ice » (disques Columbia). Prix : 14,99 €. Sortie aujourd’hui. En concert les 25 et 27 février au Palais omnisports de Paris-Bercy. Complet. L’intégralité de la discographie d’AC/DC est rééditée.

JE M'APPRETAIS à LE [/b[b]]FAIRE thankssssss