guitar part --> isotfc

comme promis la critique

"C'est ce qui s'appelle de l'autoflagélation!Intituler leur dernier opus ainsi n'était pas la meilleur chose à faire.Voilà plus de 40ans que le groupe produit le meme boogie-rock certes bien léché, très rythmé, mais qui à force , fini par lasser.L'énergie, sur fond de murs de 4x12 (sa tu peux le dire )est toujours au rendez vous, et rattrape un peu le manque d'inventivité du groupe.Hormis les passages lead qui justifient que l'on tende l'oreille, les membres du groupe ont conservé les ingrédients de leurs vieux succès,le shuffle et la distortion poussée a fond. L'album se finit sur une ballade acoustique sans interet, et dans tout cela,ils ne l'ont toujours pas trouvé leur quatrième accord.


mouais mouais ils ont pas été tendre je précise que justement dans ce numéro se trouve une rubrique rythmique a l'honneur du Quo qui pour moi et vraiment pitoyable ils auraient pu faire mieux ...

Encore un connard qu'a écrit cet article, il ferait mieux d'aller voir le Quo en concert et d'étudier un peu mieux le jeu de guitare de Rossi et Parfitt avant de sortir des conneries pareils, Pfffff

Dsl, c'était mon coup de geule du jour lol

malcolmyoung a écrit:

Encore un connard qu'a écrit cet article, il ferait mieux d'aller voir le Quo en concert et d'étudier un peu mieux le jeu de guitare de Rossi et Parfitt avant de sortir des conneries pareils, Pfffff

Dsl, c'était mon coup de geule du jour lol

heu !!!!!!!!!!! pas mieux , c'est bien envoyé !

Daffy Duck a écrit:

la musique du Quo n'est pas faites pour les adeptes de la branlette

à l'époque où j'ai découvert le Quo j'avais 12 ans et compte tenu de ce très jeune âge j'étais hélas obligé de ne pas être aussi affirmatif que toi sur ce sujet...

PARFITT: 'I DON'T CARE ABOUT CRITICISM'

STATUS QUO guitarist RICK PARFITT "doesn't give a f**k" about criticism directed at his band over their musical reliance on five guitar chords. The British rocker insists he isn't worried by the negative remarks, and instead points out that the style was first championed by rock and roll great, Chuck Berry. He says, "It used to (annoy me), but as years go by, I tend not to give a f**k. "Anyone who knows about music anyway knows we use five and what you can't do with five ain't worth knowing. Chuck Berry started it all - and he actually supported us the other week. I just couldn't believe it."

quo-quo ! a écrit:

malcolmyoung a écrit:

Encore un connard qu'a écrit cet article, il ferait mieux d'aller voir le Quo en concert et d'étudier un peu mieux le jeu de guitare de Rossi et Parfitt avant de sortir des conneries pareils, Pfffff

Dsl, c'était mon coup de geule du jour lol

heu !!!!!!!!!!! pas mieux , c'est bien envoyé !

désolé pour certains, mais le quo 2007, me plait autant que le quo de 1977, époque a laquelle j'ai eu la chance de les découvrir !
pour moi rien a changé, et rien ne changera!

L'avis d'un critique n'est que le sien.Ont leurs donne trop d'importance a ces messieurs .Lui n'aime pas...... son voisin aime. Le véritable critique est l'acheteur

quorreze a écrit:

L'avis d'un critique n'est que le sien.Ont leurs donne trop d'importance a ces messieurs .Lui n'aime pas...... son voisin aime. Le véritable critique est l'acheteur

tu a raison, mille fois raison!

"Si le mec ne joue pas 17 notes à la seconde sur une guitare équipée de micros triple-bobinage XF324 à égalisation active au travers d'un ampli à lampes de la mort-qui-tue de la taille d'une armoire normande, le tout branché à un rack d'effets digne d'un cockpit de navette spatiale, et bien ce mec c'est rien qu'un cave et sa musique de la daube. J'exagère à peine."

Heu, DAFFY, que je sache, Angus branche sa SG directement dans le MARSHALL, ne joue pas toujours 17 notes à la seconde, mais figure quand même en place d'honneur de ce type de revue...
Je pense aussi que certains journalistes ont un peu de mal à se retouner pour aller regarder loin dans le temps, ou faire des musiques qu'ils jugent "has been"... sans chercher plus loin et esayer de comprendre pourquoi cette musique et ces groupes existe toujours, bravant tous les phénomènes de modes.