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Cyprien




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MessageSujet: Chroniques trouvées sur internet   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeDim 26 Juin 2011 - 18:03

Et si l'extinction prochaine de tous ces dinosaures du rock était responsable de leur hyper-activité récente ? Comme un sursaut, un dernier baroud d'honneur avant de mettre les guitares au placard et fumer une bonne pipe méritée, bien calé dans sa rocking-chair, un plaid sur les genoux. Mais... et si ces icônes étaient immortelles, tout simplement ? Prenez Status Quo : une carrière entamée en 1962, 29 albums studio au compteur en comptant le petit dernier, et un rythme de vie constitué pour la majeure partie d'une incessante tournée qui voit les sexagénaires sillonner à longueur d'années les quatre coins de l'Europe, de Prague à Rennes et de Glasgow à Palerme. Une constance et une forme enviable qui font des apôtres anglais du boogie-rock une des formations les plus actives en ce début de décennie.

Quatre ans de tournée séparent ce Quid Pro Quo de son prédécesseur, le très bon In Search of The Fourth Chord au titre délicieusement ironique (les détracteurs du groupe disaient que ses membres ne connaissaient pas plus de trois accords...). Le délai le plus long entre deux albums du QUO, qui n'ont jamais laissé s'écouler plus de trois ans entre deux sorties studio. Mais outre ce délai inhabituel (mais facilement pardonnable pour un groupe emblématique), ce qui frappe l'auditeur est avant tout la qualité des compositions. Bien sûr, si le boogie rock de STATUS QUO vous laisse insensible, vous pouvez tranquillement passer votre chemin. Pour les autres, ce Quid Pro Quo constitue une délectable madeleine de Proust qui nous ramène au temps béni de Hello ! ou On The Level. Alors que le précédent opus brillait par ses fulgurances et ses quelques pièces délectables, ce nouvel opus prévaut par sa constance et son homogénéité. Car du début à la fin cet album transpire le boogie-rock inspiré et irrésistible. Le temps des expérimentations est loin, bien loin, et l'heure est au plaisir pur à l'écoute de ces 15 compositions (dont un réenregistrement inutile de tube « In the army now »), témoignages d'un groupe toujours soudé et complémentaire. L'auditeur ressent ici bien plus que sur In Search of... le plaisir vécu par les musiciens lors de l'enregistrement.

L'intérêt de ce nouvel album réside également dans sa durée de vie conséquente. Il y a bien entendu ici des pièces immédiates, qui remettent les pendules à l'heure et font rougir de plaisir (« Two way traffic », « Rock'n'roll 'n' you », « Let's rock »), mais nombre de titres s'avèrent surprenants et pour la plupart très réussis. On pense notamment à « Dust to gold » et son riff introductif rappelant les Who, et qui s'impose rapidement comme une pièce maîtresse de l'album. Noyé au milieu de titres boogie-rock plus immédiats, « Frozen hero » se révèle également comme un très grand moment, sublimé par une rythmique emballante et des lignes vocales imparables d'un Francis Rossi fidèle à lui-même. Ce titre constitue, tout du moins pour votre serviteur, la véritable pépite qui prouve que STATUS QUO déborde de riffs à proposer et d'histoires à raconter.

Les nostalgiques tout comme les jeunes qui découvrent le groupe sur le tard trouveront ici de quoi les satisfaire. Travaillant chacun de leur côté, Parfitt et Rossi parviennent à assembler un album riche de leurs différences et de leur complémentarité. C'est bien simple, il n'y a ici rien à jeter. Malgré la redondance de certains titres (mais le boogie-rock permet facilement ces répétitions), le plaisir reste intact du début à la fin, et il s'avère impossible de résister à ces titres fédérateurs et aux refrains persistants de « Leave a little light on » ou « My old ways ».

Alors que STATUS QUO n'a plus rien à prouver, le groupe aurait pu se contenter de proposer un album vite-fait, bien-fait. Coup de chance, nous avons ici affaire à une des meilleures sorties depuis le début de l'année, et un album à classer dans le haut du panier de la discographie très fournie des Britanniques. Un album à vous procurer d'urgence, d'autant plus que vous aurez droit en bonus à un bootleg autorisé enregistré lors de la tournée 2010 et reprenant les plus grands tubes du combo. Rossi n'a plus sa queue de cheval, mais STATUS QUO a toujours son talent. Pourvu que ça dure !
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Véro

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MessageSujet: Re: Chroniques trouvées sur internet   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeDim 26 Juin 2011 - 18:41

clap clap clap

presque Tout pareil comme il dit thumb1
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Tof66

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MessageSujet: Re: Chroniques trouvées sur internet   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeDim 26 Juin 2011 - 19:04

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VRIELYNCK PASCAL

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MessageSujet: Re: Chroniques trouvées sur internet   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeDim 26 Juin 2011 - 20:38

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Cyprien




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MessageSujet: Autre chronique....   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeDim 26 Juin 2011 - 22:22





Chronique, critique de l'album Quid Pro Quo de Status Quo
Chronique de Quid Pro Quo
La première fois, c’était il y bien longtemps, alors qu’un camarade de promotion avait reproduit au plus près la pochette de l’album Dog of Two Heads sur le coffre de sa 2CV : sarcasmes, et quolibets, et toutes ces sortes de choses, pour la majorité élitiste et fan de Yes que nous constituions alors. La dernière fois (en date), c’était il y a quelques semaines, lors d’un concert, chipé au hasard, durant ces interminables tournées européennes (adage incontournable : en fait, Status Quo est toujours en tournée). Face à ces estomacs de quadragénaires, dilatés par la bière : sarcasmes, et quolibets, jusqu’à ce que l’on jette un coup d’œil sur le nôtre, d’estomac.

Donc, que penser du trentième album studio des Londoniens Rossi et Parfitt, qui produisent à peu près la même musique depuis leur création, alors que le premier ministre Harold MacMillan gouvernait la Grande-Bretagne de 1962 ? La même chose que vous, camarades, car si vous êtes fans du groupe, vous serez ravis d’apprendre qu’il lâche quelque peu la grappe à ses sinistres prétentions techno pour n’accueillir qu’orgue ou cuivres de la bonne cause (« Let’s Rock », enregistré en quelle année, essayez un peu, pour voir ?). Et la même chose que vous, petits amis, qui considérez que ce détestable combo constitue l’archétype du rassemblement de musiciens figés dans une formule à la créativité nulle.

Car la vie, c’est comme cela : parfois, on se damnerait pour la révolte et la turgescence de l’inventivité (et l’âge ne fait rien à l’affaire, les saxophones d’un Albert Ayler mort vibrant toujours de la même verve révolutionnaire). Et, parfois, on arbore un sourire béat à la moindre barbecue-party, sur fond de « Can’t See for Looking » (enregistré en quelle année… ?) ou « Two Way Traffic » (enregistré… ?). De l’autre côté du clavier, on reste intimement persuadé que, positive ou pas, la piteuse critique ici présentée ne fera pas varier d’un iota la réaction collective. Alors, on préfère rester entre soi, avec ce rock prolétarien qui deviendra assurément sublime dans...trente ans, et qui, pour l’heure, laisse avec malice les bons vieux temps rouler.

Á noter qu’avant-garde d’une assez naturelle tournée (entre autres) française, les quatorze chansons de Quid Pro Quo (joke pour pages roses) se déclinent en différentes versions, de la standard à la luxe, incluant un CD inédit (Official Bootleg - Greatest Hits Live), riche de dix versions de standards du groupe – de « Down Down » à « Whatever You Want » -, enregistrés quelque part entre Amsterdam et Melbourne, ainsi que d’une version 2010 du plus atypique des hits de Status Quo, « In The Army Now »
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Cyprien




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MessageSujet: et enfin la dernière...   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeDim 26 Juin 2011 - 22:35


Status Quo - Quid Pro Quo
Les détracteurs écriront, sans même l'écouter, un nouvel album des Quo, copie conforme du précédent, lui même déjà .. etc. Les laudateurs, dont je suis, écrirons que quand ils sont bons, il n'y a pas grand monde pour leur arriver à la cheville et pour coller la pêche, faire hocher la tête et taper du pied au rythme de leur inusable boogie. Mais il faut bien l'admettre In the search of the fourth chord était hormis le single Beginning of the end, peu défendable et pour tout dire mou du genoux. Du coup, le plus long espace entre deux albums depuis leur début et voici Quid pro quo, titre naze sauvé par une pochette simple et pour une fois esthétique. Qu'est ce qui distingue un bon Quo d'un mauvais Quo ? les singles coco. Quand ils sont inspirés, le duo Rossi/Parfitt a le don de trouver de ces ritournelles qui vous vrillent les tympans pour ne plus vous lâcher, couplées à quelques solis plantées comme autant de banderilles dans un rythme binaire basique mais ô combien efficace. Alors il dit quoi ce disque ? C'est du tout bon, tu peux foncer. Two way traffic déboule à fond les gamelles, et déjà, tu sais que ça va le faire. une intro qui prend le temps de se mettre en place pour faire monter la pression, et bam, en voiture Simone, couplet refrain s'enquillent direct entre les deux yeux. Rock and Roll 'N you, quoiqu'un peu simplet est efficace, et le reste est à l'avenant. Certes quelques baisses de régimes, qui à besoin d'un zillionième Let's rock ou la voix montre ses limites. Mais comment ne pas craquer sur le refrain made in pop de Leave a Litte light on qui démontre que nos papys n'ont pas perdu la main pour se fendre d'un single jouissif. En bonus, pour les pas encore convaincus, un In the army Now plus un live avec quelques grands classiques (et quelques titres dispensables soit di en passant). Bref, cette fois, leur meilleur album depuis des lustres, on l'aura attendu, mais ça valait la peine welcome back les Quo !!
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Tof66

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MessageSujet: Re: Chroniques trouvées sur internet   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitimeLun 27 Juin 2011 - 21:56

thumb1 musique @@@ c'est tiré de ou ça?
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MessageSujet: Re: Chroniques trouvées sur internet   Chroniques trouvées sur internet Icon_minitime

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